Depuis  la  mise  en  place  de  la  réorganisation,  c’est-à-dire  presque  2  mois,  les  problèmes rencontrés par les agents s’accumulent (surtout au ralliement).les  solutions proposées par la CGT et reprises par la Direction ne sont que temporaires et ne peuvent être reconduites sur le long terme...

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Alors que nous commençons à percevoir, les conséquences  des  changements  depuis  la  mise  en  route  de  la réorganisation, un suivi est nécessaire pour chacun d’entre nous. Selon  la  situation  dans  laquelle  on  se  trouve,  nous  avons droit à de nouvelles prestations, primes, et des  demandes ou requêtes personnelles sont parfois nécessaires...

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Le processus de regroupement a été largement précédé par des mutualisations d’activités. L’information a été lacunaire dès le début. Les perpétuelles réorganisations entrainent des pertes de repères qui déstabilisent, fatiguent et usent les salariés de l’unité. La fusion est une brique supplémentaire qui vient aggraver ces effets.

La communication descendante et distillée de la direction a été construite pour écarter les salariés,...

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La CGT a participé à la première réunion de négociations avec une revendication forte : Un accompagnement pour tous les salariés entrant dans AT Demain. Pas seulement pour quelques « ambassadeurs » choisis par la ligne managériale. La Direction refusant d’élargir la négociation à tous les salariés (ce qui nous semblait indispensable à la réussite de l’ambitieux projet AT Demain) la CGT  s’est retirée de la négociation.

L’accord signé par 2 organisations syndicales n’a pas été validé faute de représentativité suffisante. C’est une décision unilatérale de l’entreprise qui  s’applique...

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En janvier 2017, La Poste fait signer l’accord sur les conditions de travail des facteurs et, depuis,  déploie des trésors de duplicité pour ne pas l’appliquer.

En ne signant pas cet accord, la CGT a refusé de cautionner la dégradation des conditions de travail des facteurs, à l’inverse d’autres organisations syndicales

Pour autant, tout n’est pas à jeter et les rares avancées obtenues doivent être mises en œuvre...

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Fin mai, nous avons eu droit - exercice obligé -  à une « commission de suivi » des accords cobas signés ces 4 dernières années.

Nous attendions cette commission de suivi car nous avons déjà dénoncé le fait que le dernier accord, portant sur les « conditions d’exercice des métiers de conseil bancaire » et signé en septembre 2017, n’avais eu aucun effet sur les conditions de travail des agents dans les bureaux.

Pire, les conditions d’exercice de nos métiers se sont encore dégradées, si c’était possible, par rapport à l’année dernière !

Durant cette réunion, la direction a déployé un bel écran de fumée - sous forme d’un diaporama marathon établi par le siège - pour nous expliquer que tout va bien et pour surtout éviter de répondre à nos questions.

Pendant ce temps, dans les bureaux, la situation continue à se dégrader : ...

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Les organisations syndicales étaient conviées à une séance de négociation portant sur l’accompagnement des Conseillers clients « ambassadeurs » dans le cadre de la mise en œuvre de l’AT Demain. La CGT a profité de cette négociation pour réaffirmer sa position : l’accompagnement financier ne peut se limiter au seul périmètre des « ambassadeurs » mais doit bien concerner tous les salariés des UAT entrant dans le dispositif.

Refus de la Direction…

laCGT ne participera donc pas à la 2éme séance de négociation dont le seul objet sera de fixer le montant de l’accompagnement financier pour les seuls « ambassadeurs »...

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