Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Retraités

  • Infos CGT fapt : comment les entreprises postales et de télécommunication gèrent le coronavirus et quel impact sur les salariés encore en activité.

    COM PRESSE.png

    index.png

    POSTE.jpeg

    Cliquez sur les images pour charger les alertes

    Salut à toutes et à tous,

     

    Voici le mail et les documents que je viens d'envoyer aux agents du réseau de la Poste.

    Au courrier, pour celles et ceux qui le peuvent, imprimez les lettres et le communiqué de presse et affichez le dans votre bureau ou faites les passer par les réseaux sociaux... je vais mettre tout ça sur notre blog : carton-rouge.blogspirit.com

    FAITES SUIVRE AU MAXIMUM !

     

     

     Bonjour,

    Depuis le début de la semaine et l'annonce du confinement strict des population, nos entreprises ont du s'adapter à une situation inédite.

     

    La situation des salariés est difficile entre la nécessaire poursuite des activités essentielles qui s'imposent à nous et le devoir de protection de nos personnes et de nos usagers. Pour les encadrants sur le terrain aussi la tâche est ardue car ils doivent répondre aux inquiétudes et sollicitations des agents avec des consignes souvent floues et fluctuantes et des moyens qui ne leur sont pas forcément donnés.

    Au bout de quelques jours, nous avons tout de même pu constater que, d'une entreprise à l'autre, le volontarisme et la prise de décision rapide ne sont pas au même niveau. Si dans les entreprises de télécommunication les décisions et les moyens ont été développés rapidement, dans le secteur postal il en est tout autre. A la Poste, que ce soit au courrier ou au réseau, les mesures de sécurité des agents ne sont pas à la hauteur (commen par exemple, les mesures de protection prises aux caisses des supermarchés) et la Poste maintien un flou sur les opérations qui peuvent être faites dans les bureaux.

    Mercredi, la CGT FAPT 49 avait déjà alerté la prefecture et l'inspection du travail. Nous avons aussi alerté la presse aujourd'hui. Par ailleurs, une large intersyndicale a aussi interpellé le président, le ministre d'économie et le PDG de la Poste car C'EST BIEN UN PROBLEME DE STRATEGIE GLOBALE DE LA POSTE QUI SE POSE.  Vous trouverez ces alertes dans les pièces jointes. 

    Dans l'est de la France, devant l'ampleur de la contagion, des mesures strictes ont été prises.

    N'attendons pas d'être au même point avant de réagir !  

    La CGT continue à travailler pour obtenir de meilleurs conditions de protection de tous les agents et pour pouvoir remplir, au quotidien, effectuer les opérations essentielles (et uniquement celles là) pour ne pas exposer nos usagers. 

    Si vous avez besoin, n'hésitez pas à nous appeler. Nous sommes toujours joignables.

  • COVID-19 : Quelles démarches si je dois garder mon enfant à la maison ?

    Covid 19.jpg

    Suite aux annonces, hier soir, sur les fermetures de toutes les écoles à partir de lundi 16 mars, nous avons été sollicités sur les démarches à suivre par les parents qui sont contraints de rester chez eux pour garder leurs enfants.

    Si vous êtes concernés, vous pouvez bénéficier d'un arrêt de travail indemnisé. L'Assurance maladie a mis en place le télé-service declare.ameli.fr pour permettre aux employeurs de déclarer un arrêt de travail en ligne pour ces salariés.

    Comment ca marche ?

    Le parent concerné contacte son employeur et envisage avec lui les modalités de télétravail qui pourraient être mises en place. Si aucun aménagement de ses conditions de travail ne peut lui permettre de rester chez lui pour garder son enfant, c'est l'employeur qui doit, via la page employeur du site ameli.fr (https://declare.ameli.fr), déclarer l'arrêt de travail de son salarié (le parent n'a pas besoin d'entrer en contact avec sa caisse d'assurance maladie).

    Cet arrêt sera accordé pour une durée de 14 jours calendaires à compter de la date de début de l'arrêt déclaré. Pour en bénéficier, l'employé doit remplir certaines conditions :

    • Les enfants doivent avoir moins de 16 ans le jour du début de l'arrêt ;
    • Les enfants doivent être scolarisés dans un établissement fermé ou être domiciliés dans une des communes concernées (les listes des communes sont régulièrement mises à jour sur les sites internet des rectorats) ;
    • Un seul parent peut se voir délivrer un arrêt de travail (le salarié doit fournir à son employeur une attestation sur l'honneur (modèle joint) certifiant qu'il est le seul à le demander à cette occasion) ;
    • L'entreprise ne doit pas pouvoir mettre l'employé en télétravail (l'arrêt de travail doit être la seule solution possible sur cette période).

    L'indemnisation est enclenchée à partir de cette déclaration. Le salarié percevra les indemnités journalières et, le cas échéant, le complément de salaire de son employeur dès le 1er jour d'arrêt (sans délai de carence).


    Les directions Courrier et Réseau sont actuellement réunies et nous espérons une communication rapide de leur part.

    Cliquez sur l'image pour accéder au tract et au modèle d'attestation.

  • 19 avril 2018 : Nous aussi, BATTONS-NOUS POUR NOS DROITS !

    Négo.png

    Dans la période actuelle, nous voyons se multiplier les mobilisations sociales en territoires (Écoles, Aides à domicile, Gares, Hôpitaux, Agences Pôle Emploi,..), dans les professions (Cheminots, EHPAD, Fonctionnaires, EDF….) et chez les Etudiants et les Retraités.

    Ces très nombreuses actions traduisent

    un réel mecontentement et une colere grandissante.

    Toutes  les  générations  sont  concernées,  des  étudiants  (avec  un  mouvement  qui  est  en  train  de  se développer) aux retraités et dans nos entreprises, la colère monte aussi !...

    L’intersyndicale CGT, FSU, UNEF et UNL appelle tous les salariés - du public comme du privé - la jeunesse et les retraités à participer massivement à la journée d’action, de grève et de manifestations le 19 avril, une première étape dans le processus de convergence des luttes.

     

    Rendez-vous a :       ANGERS - 10h30 - place du ralliement

                                      SAUMUR - 10h30 - place billange

                                      Cholet - 10h30 - place Travot

    Cliquez sur l'image pour lire le tract.

  • Retraités : JEUDI 15 mars, EXIGEONS L'AUGMENTATION de NOTRE POUVOIR D'ACHAT

    Ceinture.jpg

    Ensemble mobilisons-nous

    le jeudi 15 mars !

    A l’appel de : CGT – FO – CFTC – CFE-CGC – FSU – Solidaires – FGR-FP – Ensembles et Solidaires – UNRPA et LSR.

    Rassemblement à 10 heures 30

    devant la préfecture.

    Cliquez sur l'image pour lire le tract.

  • Petition : DEFENDONS NOTRE CANTINE

    defendons cantine.jpg

    Le départ des agents de la distribution de la Roseraie vers la PIC, va avoir des conséquences collatérales non négligeables sur notre quotidien. La cantine en est une. Si nous ne sommes pas vigilants, La Poste va en profiter pour rayer de la carte ce bien commun.

    La Poste n'est que sur une seule logique : celle de diminuer au maximum le nombre de convives qui déjeunent à la cantine. C'est une logique purement économique. Toujours dans cette même logique, La Poste réorganise les services tous les 2 ans en supprimant un grand nombre de postes. Cela a généré une baisse des convives déjeunant au restaurant.

    Pour autant l’association est là et permet à 8 personnes de travailler.

    Lenjeu est donc de veiller au maintien du nombre de convives,

    voire à son augmentation....

    Cliquez sur l'image pour accéder à la pétition.

  • Au travail, comme dans la vie, SEXISME et VIOLENCE, CA SUFFIT !

    harcellement 1.jpg

    Depuis peu, la parole des femmes se libère enfin. Elles témoignent des violences sexuelles qu'elles ont subies. Ces témoignages ne doivent pas rester sans suite. Le projet de loi annoncé par le gouvernement doit contenir de vraies mesures pour lutter contre les violences, en particulier, celles qui se produisent au travail.

    Volontaires ou plus souvent issus de stéréotypes et préjugés véhiculés par les hommes comme par les femmes, les propos sexistes ont pour conséquence d'entretenir la différenciation et la hiérarchie des sexes. Ils conduisent à nier le professionalisme des femmes en les considérant d'abord comme des femmes avant de les traiter comme des collègues...

    Cliquez sur l'image pour lire le tract.

    Pourtant, ces comportements, isolés ou répétés, peuvent être caractérisés comme relevant de la "simple séduction", du harcèlement ou de l'agression !

    Cliquez sur l'image ci-dessous pour accéder à l'affiche.

    harcellement 7.jpg

  • Racisme ordinaire au travail : CES MOTS QUI FONT MAL !

    Racisme.png

    Propos entendus dans un bureau du Maine & Loire, à propos d’un intérimaire dont un collègue ne se rappelait pas le prénom : « Appelle le Mohamed. De toute façon, ce sont tous des Mohamed » !

    Autre propos, dans la bouche d’un directeur : « Il vaudrait mieux éviter de nommer des personnes de couleur en milieu rural ; ce serait les mettre en difficulté ; Les populations sont méfiantes ».

    Ces propos vous choquent ? Et pourtant, systématiquement, face aux réactions indignées - quand il y en a - l’entreprise minimise, « calme le jeu », temporise… pour finalement passer à autre chose. Sont invoquées tour à tour, la maladresse, la blague lourde, la tradition - « c’est une expression ancienne » - pour dédouaner l’auteur des propos et ne pas prendre position...

    Cliquez sur l'image pour lire le tract.