Dans des articles parus dans la presse locale, Ouest France explique que des inspecteurs du travail ont pu vérifier sur plusieurs bureaux de la région - Avrillé, Cholet,Beaucouzé (49), Châteaubriant (44) et Bruz (35) - que les horaires déclarés par La Poste ne correspondaient pas à la réalité du travail des agents. Dépassements horaires, réductions ou non prise des pauses ne sont pas prises en compte par l’entreprise.

Rien de nouveau pour nous qui le vivons au quotidien mais, dans ce cas,

L’état affirme clairement que c’est illegal,

Inflige des amendes à la Poste

Et la contraint à apporter des solutions.

La réaction de La Poste est écœurante. Elle conteste non pas l’infraction mais le fait qu’elle soit sanctionnée, ce qui la mettrait dans une « situation intenable » !

En gros, La Poste reclame un permis d’exploiter ses salaries en paix !

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L’année 2019 verra une grande nouveauté : le prélèvement à la source de l’impôt. A la Poste, ça fait des années que les agents subissent le « prélèvement à la source ». Par exemple : Les congés, les avantages en nature, les moments conviviaux, les transformations du réseau, le droit de grève et le droit à la communication,...

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Du 03 au 06 décembre 2018 auront  lieu  les  élections  professionnelles  à  la  Poste.  Les  postières et les postiers  vont  élire  leurs  représentants aux :

Commissions  Administrative Paritaire (CAP)

Commissions Consultatives Paritaires (CCP) 

Comité Technique (CT)

Cette  élection  servira également à mesurer la représentativité  des  différentes  organisations syndicales pour les années à  venir  et  donc  les  moyens  syndicaux  pour  mener leur activité auprès du personnel.

Le  nombre  de  représentants  du  personnel  aux CHSCT  (Comité  Hygiène Sécurité  et  Conditions  de Travail)  sera  fonction  du vote  obtenu  par  chaque syndicat  aux  comités  techniques.

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Le 30 août dernier, Bruno LEMAIRE annonçait la prochaine fusion de la Poste et de la CNP, à l’horizon fin 2019.

À l’entendre, cette opération de sauvegarde du groupe La Poste lui permettrait de compenser la baisse des volumes du courrier et ouvrirait de formidables opportunités… Mais pour qui ? Certainement pas pour les salariés !

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Après ce si bel été ensoleillé qui nous redonne de la bonne humeur et de l’optimisme, les réunions de rentrée et la mise en application des accords à la Poste nous annoncent un automne bien plus morose.

En effet, sur de nombreux secteurs, le constat est frappant : le manque de personnel se ressent partout générant des conditions de travail de plus en plus difficiles laissant 2 options aux agents : attendre son TPAS proche ou serrer les dents en espérant que le TPAS existe encore quand on aura l’âge requis. Pour les autres, c’est Waterloo, morne plaine…

Le caractère pathogène des réorganisations...

Le refus de la direction de prendre en compte des alertes constantes et répétées...

Une instrumentalisation du capital humain...

De la colère à l’action...

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Dans tous les secteurs, nombre d’ingénieurs, cadres, techniciens et agents de maîtrise (ICTAM), contraints par la pression actionnariale, doivent faire le deuil de leurs aspirations à bien faire leur travail, à lui

redonner son sens, à exercer leurs responsabilités économiques et sociales pour garantir un avenir à leur entreprise tout en répondant aux besoins de la société. Partout l’éthique professionnelle est malmenée par la pression financière et budgétaire.

Un renouveau du statut de l’encadrement est indispensable...

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Fin mai, nous avons eu droit - exercice obligé -  à une « commission de suivi » des accords cobas signés ces 4 dernières années.

Nous attendions cette commission de suivi car nous avons déjà dénoncé le fait que le dernier accord, portant sur les « conditions d’exercice des métiers de conseil bancaire » et signé en septembre 2017, n’avais eu aucun effet sur les conditions de travail des agents dans les bureaux.

Pire, les conditions d’exercice de nos métiers se sont encore dégradées, si c’était possible, par rapport à l’année dernière !

Durant cette réunion, la direction a déployé un bel écran de fumée - sous forme d’un diaporama marathon établi par le siège - pour nous expliquer que tout va bien et pour surtout éviter de répondre à nos questions.

Pendant ce temps, dans les bureaux, la situation continue à se dégrader : ...

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